
Young Adult
[Chronique] Les loups chantants, d’Aurélie Wellenstein

« De nouveau, Yuri embrassa la contrée féérique et silencieuse. Lui aussi s’était préparé au pire, mais au lieu d’un chaos de glace hanté par les monstres, voilà qu’ils admiraient la splendeur cristalline des champs de neige, bordés du velours noirs des pins. »
[Chronique] Zone tampon, d’Isabelle Bauthian

–« C’est si facile d’oublier ce qui nous a conduits où nous en sommes. Je repense au conte d’hier soir. Combien d’innocentes provocations, combien de petits plaisirs, combien de subtiles transgressions, encore, avant que mon monde ne s’effondre comme l’a fait celui de mes ancêtres »
[Chronique] Ciel sans étoiles – tome 2 : Compassion, de Yoann Dubos

–« Mon brave, je ne crois pas que nous ayons été présentés à ce jour, mais je doute que vous aimeriez avoir l’honneur de faire ma connaissance. Pour ce soir, je vais être magnanime, car je suis déjà repu ! Saisissez donc la chance qui s’offre à vous et passez votre chemin. »
[Chronique] Le Peuple des rennes, de Megan Linholm

–« Aucun autre endroit ne ressemble au Cataclysme. Et c’est aussi un lieu de pouvoir, tous les chamanes l’ont toujours dit. Un site bien choisi pour les commencements et les fins. »
[Chronique] Les enfants d’Aliel – tome 4 : Le porteur d’espoir, de Sara Schneider

–« Étrange guerre que celle-ci, qui mêlait stratégie militaire et attaques sournoises, créatures monstrueuses et élégants faux-semblants. »
[Chronique] Ce qui nous hante, de Sacha Bazet

–« Certains fantômes ne gagnent pas à être connus. Elle fut prise d’un frisson en relisant l’avertissement. À quel point leur situation pouvait-elle encire s’empirer ? »
[Chronique] Peine-Ombre, d’Ariel Holzl

–« Tout le monde connaissait Livianne à Blanc-Buis. Personne n’appréciait vraiment sa compagnie. Elle avait l’esprit trop vif, la langue trop bien pendue et l’œil trop noir. Ils savaient tous ce que cela signifiait. Livianne également. On ne pouvait rien lui cacher bien longtemps. »
[Chronique] The Bone Season, de Samantha Shannon

« C’était l’heure de pointe, à laquelle nombre de Londoniens rentraient chez eux après le travail – plongés sur leur téléphone ou leur tablette, incapables de sentir les esprits qui voletaient et dansaient autour d’eux. J’avais autrefois été effrayée par ma clairvoyance, mais à présent je la chérissais. Je percevais un monde qu’ils ne verraient jamais. Leur vie serait toujours à moitié vide. »
[Chronique] Les Veilleurs, de Jean-Luc Bizien

« La lune est ronde ce soir et ils sont tous là, dehors. Je peux deviner leur présence dans la rue, dans les égouts, dans les couloirs des bâtisses abandonnées. J’ai trouvé un abri pour la nuit. La porte est solide, personne ne la franchira. Peut-être même vais-je pouvoir dormir quelques heures et reprendre des forces. »
