
Fantasy
[Chronique] La cité diaphane, d’Anouck Faure

« Mes forces me quittent, mon temps arrive à son terme. Si je peux formuler un dernier vœu : que nul ne revienne jamais ici. Ce que le mal n’a pas détruit, puissent le temps et l’oubli le réduire en poussière. Puissent les démons sortir de leur torpeur et ravager ces terres une bonne fois pour toutes. Puisse Roche-Étoile disparaître et demeurer notre tombeau. »
[Chronique] Gideon la neuvième, de Tamsyn Muir

« Gideon, ne pleure pas ceux qui nous ont quittés. Selon moi la mort est le triomphe absolu. »
[Chronique] Le silence des carillons, d’Edouard H. Blaes

« C’est important, les histoires. Quand on est enfermé dans le noir, sans plus vraiment avoir ni vie ni futur. Quand le passé a la couleur de l’horreur et les traits d’un cauchemar, s’évader dans les rêves de quelques lignes contées, c’était se libérer un peu. Juste un peu. Juste assez, en fait. »
[Chronique] Tress de la mer Emeraude, de Brandon Sanderson

« Il est communément admis que les dragons collectionnent les trésors, et je me suis souvent demandé si cette légende ne trouvait pas son origine dans le métal d’outre-monde qu’on retrouve sur leurs cadavres. Je n’ai jamais croisé un seul dragon qui soit friand de richesse. Les idées, par contre, ils en amassent… et dans ce domaine, ce sont des grippe-sous dignes de leur légende. »
[Chronique] Le Secret du Roi, de Marie Valente
[Chronique] La maison des jeux, tome 1 : Le serpent de Claire North

« Tout est hasard. La nature est hasard. La vie est hasard. La folie des hommes est de chercher des règles là où il n’y en a pas, d’inventer des contraintes là où aucune n’existe. Tout ce qui compte c’est le choix. Alors choisis. Choisis. »
[Chronique] Grain de sable, de Louise Roullier
[Chronique] La cité des Saints et des Fous, de Jeff Vandermeer

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« Que peut-on dire d’Ambregris qui n’ait été déjà dit ? Le moindre quartier de la ville, si superflu qu’il paraisse, a un rôle complexe, voire équivoque, à jouer dans la vie de la communauté. Et j’ai beau me promener très souvent sur le boulevard Albumuth, l’incomparable splendeur de la cité ne cesse de se rappeler à moi, avec son amour des rituels, sa passion pour la musique, son inépuisable et magnifique cruauté »
« Que peut-on dire d’Ambregris qui n’ait été déjà dit ? Le moindre quartier de la ville, si superflu qu’il paraisse, a un rôle complexe, voire équivoque, à jouer dans la vie de la communauté. Et j’ai beau me promener très souvent sur le boulevard Albumuth, l’incomparable splendeur de la cité ne cesse de se rappeler à moi, avec son amour des rituels, sa passion pour la musique, son inépuisable et magnifique cruauté »