[Chronique] Warbreaker, de Brandon Sanderson

Voici l’histoire de deux sœurs : Siri, une jeune fille rebelle envoyée par son père pour épouser le tyrannique Dieu-Roi, et Vivenna, qui va tenter de la sauver de son sort. C’est aussi l’histoire de Chanteflamme, un autre dieu qui n’aime pas son travail, celle de Vasher, un immortel qui essaie de réparer les erreurs qu’il a commises autrefois, et de Saignenuit, sa mystérieuse épée. Dans leur monde, celui qui meurt auréolé de gloire devient un dieu et vit dans le panthéon du royaume d’Hallandren. C’est un monde transformé par la magie biochromatique, la magie du Souffle. Un Souffle qu’on ne récupère définitivement que sur un individu à la fois… Brandon Sanderson prouve une fois encore qu’il excelle dans la création d’un imaginaire avec ses mythes et sa magie propres.

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[Chronique] Manuel de survie du sorcier frugal, de Brandon Sanderson

manuel de survie
« J’arrêtai de lire – les mots commençaient à se brouiller devant mes yeux. Un nouveau morceau de mémoire, minuscule, se remettait en place.
Ceci n’était pas un parc d’attractions. Ni une sorte d’expérience sociale bizarre ni un jeu.
C’était une autre dimension.
Et elle m’appartenait. »

[Chronique] Tress de la mer Emeraude, de Brandon Sanderson

tress de la mer emeraude
« Il est communément admis que les dragons collectionnent les trésors, et je me suis souvent demandé si cette légende ne trouvait pas son origine dans le métal d’outre-monde qu’on retrouve sur leurs cadavres. Je n’ai jamais croisé un seul dragon qui soit friand de richesse. Les idées, par contre, ils en amassent… et dans ce domaine, ce sont des grippe-sous dignes de leur légende. »

[Chronique] Une cosmologie de monstres, de Shaun Hamill

une cosmolgie de monstres

« Je me suis mis à collectionner les lettres de suicide de ma sœur Eunice à l’âge de sept ans. Je n’en ai jeté aucune, je les garde dans un pince-notes noir rangé dans le tiroir du bas de mon bureau. À part ça, on ne m’a pas permis d’emporter grand-chose. »

[Chronique] Les ferailleurs – tome 1 : Le château, d’Edward Carey

Les ferrailleurs
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« La demeure des Ferrayor, notre château, notre palais, était construit, je le voyais maintenant, non pas avec des briques et du mortier, mais avec du froid et de la douleur, ce palais était un édifice de méchanceté, de noires pensées, de souffrances, de cris, de sueur et de crachats. Ce qui collait le papier peint sur nos murs, c’étaient des larmes. Quand notre demeure pleurait, elle pleurait parce que quelqu’un d’autre dans le monde se souvenait de ce que nous lui avions fait. »

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