Comme vous devez le savoir (ou pas), je fais partie du jury du prix littéraire de l’imaginaire Booktubers App de son petit nom le PLIB, pour la seconde année consécutive ! 21 titres ont déjà été présélectionnés (vous pouvez d’ailleurs trouver la liste ici) et nous avions jusqu’au 28 février pour en choisir 5 ! Mon choix est donc fait et je vous le présente tout de suite !
D’ailleurs, les 5 finalistes officiels seront annoncés dès demain en direct du salon Les Oniriques !
Oh oh oh ! Noël est malheureusement déjà passé, j’espère que votre Pile à lire déborde de nouveaux romans à découvrir ! Pour vous gâtez encore plus et prolonger un peu les festivités, je tenais à vous proposer un petit concours pour vous remercier de m’avoir suivi pendant toute cette année !
Pour la deuxième année consécutive, je fais partie du jury du prix littéraire de l’imaginaire de Booktubers App.
J’avais adoré mon expérience lors de la première session et c’était donc une évidence pour moi de renouveler cette expérience, d’autant plus que je suis ravie des modifications. Cette année, les livres SFFF sélectionnés seront tous issus d’auteurs francophones et une première phase de sélection de 20 livres permettra de choisir plus facilement dans la très longue liste de romans (118 livres si je ne me trompe pas !). Une fois les 20 romans sélectionnés, il ne faudra alors en garder que 5… Mais chaque chose en son temps, aujourd’hui je vous présente mes 20 chouchous de la sélection que vous pouvez voir ici !
La première édition du prix littéraire de l’imaginaire touche à sa fin. J’ai fini de lire les 7 titres présélectionnés, et j’ai voté pour mon préféré. Je vous ai donc préparé en petit classement de ces romans en partant de celui que j’ai le moins aimé jusqu’à mon préféré (oui je suis un peu sadique sur les bords) ! Pour rappel, nous avions jusqu’au 30 septembre pour lire les 7 livres et le grand gagnant sera annoncé dès demain lors d’une cérémonie qui aura lieu à Lyon et à laquelle je serai présente !
« Sa main se crispa sur un autre poignard, attaché contre sa cuisse par un lacet de cuir. Elle se demanda un instant sur lequel des deux elle aurait le plus de satisfaction à le balancer. »
« Le pouvoir est inexorablement infecté par la seule maladie qu’il nous reste encore. Un virus qu’on appelle la nature humaine. Je ne donne pas cher de l’avenir de notre espèce si jamais les faucheurs se mettent à aimer ce qu’ils font. »
« La seule vie qui vaut la peine d’être vécue, c’est une vie qu’on a peur de perdre. »
« La chute me parut interminable, comme dans un abysse sans fin. Les tympans vrillés par un sifflement désagréable ; le crâne compressé dans un gant de fer. J’étouffais, suffoquais, assaillie par des flots incessants qui s’immisçaient par ma bouche et mon nez. »
Sometimes a book 