
Après des mois riches en sorties, les choses commencent à se calmer au mois de novembre. Il y a tout de même quelques sorties à noter (sans compter les nombreuses éditions collectors qui sortent, mais que je n’ai pas inclus dans cet article) et je vous présente donc ce que j’ai repéré.
Les sorties en grand format
Quelques sorties intéressantes en grand format notamment chez PVH éditions ainsi que le nouveau T. Kingfisher. J’ai un doute pour le nouveau Romain Benassaya pour lequel la couverture n’a pas encore été dévoilée.
Red City, de Marie Lu, éditions Korrigan, 05 novembre

L’alchimie est l’art caché de la transformation. Un pouvoir exclusif détenu par des organisations criminelles qui le commercialisent sous la forme de sable, une drogue qui transforme ceux qui la consomment en une version plus parfaite d’eux-mêmes. Dans la ville d’Angel City, l’alchimie est contrôlée par deux syndicats rivaux : Grand Central et Lumines. Mais lorsque deux amis d’enfance interviennent dans ce fragile équilibre, celui-ci ne tient plus qu’à un fil. Fille d’une mère célibataire et démunie, Sam est prête à tout pour se frayer un chemin dans les rangs de Grand Central. Arraché à sa famille lorsqu’il était enfant pour devenir un apprenti Lumines, Ari est l’une des étoiles montantes les plus brillantes de son syndicat. Autrefois, ils auraient pu s’aimer. Mais alors que les deux alchimistes s’affrontent de part et d’autre d’un conflit qui ne cesse de s’intensifier, l’ambition devient pouvoir, la loyauté devient mensonge, et aucune transformation n’est assez parfaite pour qu’ils puissent tous deux survivre à la guerre qui s’annonce.
Le Sang des étoiles d’Elisabeth Lim, éditions Rageot, 05 novembre

Maia Tamarin travaille comme couturière dans l’atelier de son père. Lorsqu’un messager royal convoque ce dernier, malade, autrefois tailleur de renom, à la cour, Maia se fait passer pour son fils et s’y rend à sa place. Elle est prête à risquer sa vie pour réaliser son rêve de devenir le tailleur impérial. Seulement, douze tailleurs sont en lice pour le poste.
Rien n’aurait pu les préparer au défi qui les attend : coudre trois robes magiques pour la future mariée réticente de l’empereur, à partir du rire du soleil, des larmes de la lune et du sang des étoiles. Sa tâche se complique encore lorsque Maia attire l’attention de l’enchanteur de la cour, Edan, dont les yeux perçants semblent voir clair dans son déguisement…
Morgane, Reine des brumes de Mireille Calmel, XO éditions, 06 novembre

Armorique, VIe siècle.
Avec à sa tête Vortigern, l’usurpateur du trône, et son redoutable sorcier, l’armée des Saxons et des mages noirs déferle sur les terres armoricaines. Seule une alliance improbable entre Arthur, l’héritier légitime, et Morgane des Brumes, la fille de Vortigern, peut inverser le cours de la bataille qui s’annonce. Mais, tandis qu’en Brocéliande, source de la magie blanche, on se prépare à l’affrontement, la main des Ténèbres s’abat sur les druides, les créatures du Petit Peuple… et le cœur même de Morgane.
Trois nuits de Stéphane Arnier, PVH éditions, 06 novembre

Nabintu la paysanne, Melanthius l’ancien prévôt et Ishitey la guerrière du Nord n’ont rien en commun, sinon de s’être montrés coupables d’erreurs de jugement aux conséquences… funestes. Les voilà rassemblés par une inquiétante entité au service de la Mort pour une épreuve censément rédemptrice : trois nuits, trois suspects de crimes odieux, trois verdicts à décider ensemble. Hélas, désormais privés de tout droit à l’erreur, juger autrui devient pour eux un jeu de dupe bien incertain…
Utopiales 2025 de Collectif, éditions ActuSF, 06 novembre

La Singularité est un concept passionnant qui se décline en philosophie, en physique, en mathématique et dans bien d’autres domaines. C’est la thématique du festival des Utopiales 2025. Et tout naturellement, c’est la thématique de cette anthologie officielle, avec une sélection de nouvelles passionnantes d’auteurs et d’autrices parmi les meilleurs de leurs générations.
Poussez les portes de la Singularité…
Jusqu’au plus profond des astres de A. J. Twice, éditions Gulf stream, 06 novembre

Linus Heartgreeves, Astronomiste à l’esprit constellé d’angoisses, est plongé dans un deuil insondable depuis que sa fiancée, Lucia Destrellas, Arkéologiste à l’Académie de Scientasy de Lockford, a disparu lors d’une expédition. Cloîtré dans son manoir, il cherche désespérément, dans les étoiles, un moyen de la retrouver. Sa solitude est troublée par l’arrivée de l’impertinente Diana McBròwn, Exploraliste en quête de rédemption chargée d’écrire à son sujet. Très vite, celle-ci est happée par les mystères qui hantent les lieux : lettres tardives, apparitions fantomatiques… Elle est bientôt rejointe par Santino Rossini, ami précieux du couple d’académiciens qui s’était éloigné, et qui revient dès lors graviter autour de Linus. Ces trois astres réunis vont tenter de préserver les fragments d’une vie brisée, où se mêlent amour, élitisme intellectuel et résistance féminine. Mais, dans un ciel où veillent les Déesses de la Création et de la Dissolution, le temps est compté, car une ombre rôde, menaçant d’engloutir tout ce qu’il reste de lumière…
Quand vient la sorcière de T. Kingfisher, éditions Verso, 07 novembre

Dans la maison de Cordelia, aucun secret n’est permis et les portes doivent toujours rester ouvertes. À la moindre désobéissance, sa mère Evangeline, qui détient une magie que l’on croyait disparue depuis longtemps, l’oblige à demeurer immobile et muette des heures, parfois des jours entiers…
Quand des morts suspectes frappent leur village, cette dernière entraîne sa fille dans une fuite nocturne qui les mène jusqu’à un manoir isolé, demeure d’un riche propriétaire, le Squire, et de sa sœur Hester. Car Evangeline est bien décidée à piéger le Squire dans un mariage afin de se mettre à l’abri du besoin.
Mais Hester, pressentant le danger imminent, met au point son propre plan pour la contrecarrer, avec l’aide de ses amis de longue date et de Cordelia, qui va devoir trouver la force d’affronter sa mère et son terrible pouvoir. Ensemble, parviendront-ils à arrêter Evangeline avant qu’il ne soit trop tard ?
Le Coup de grâce d’Ambrose Bierce, L’arbre vengeur, 07 novembre

Si Ambrose Bierce continue à nous impressionner, cent ans après sa mystérieuse et romanesque disparition, c’est sans doute que son art de raconter a gardé cette stupéfiante puissance d’évocation qui est le lot des plus grands. Il ricane beaucoup, il rugit et effraie volontiers, il bouscule son lecteur à coup d’images dont on peine à se défaire, et il le fait avec une verve colorée et un style, aiguisé comme une lame, qu’on ne retrouve que chez lui. Ses récits sensationnels nous conduisent sur un chemin escarpé entre farce et terreur, humour et horreur, dérision et épouvante, et à chaque fois nous mènent au bord d’un précipice qu’il nous laisse contempler, pris d’un délicieux vertige. Ce classique vénimeux attendait depuis trop longtemps une édition à même de rappeler son impitoyable génie et de faire la lumière sur le sombre recoin qu’il occupe au panthéon des grands écrivains.
Les Bois maudits de Barbara Kloss, éditions Rivka, 14 novembre

Lorsque la princesse Ying Yue est choisie pour devenir l’épouse du prince héritier Zhang Lin, ses rêves s’effondrent. Indifférent, son futur mari la confine dans sa chambre et ne s’adresse jamais à elle. Pire, des rumeurs prétendent que par le passé, sept impératrices auraient mystérieusement disparu du palais.
Isolée, avec son reflet pour seule compagnie, Ying décèle d’étranges manifestations dans son miroir… qui finit par l’absorber. De l’autre côté, elle découvre un univers où l’attend un prince, charmant cette fois. Mais un univers peuplé de monstres qu’elle a libérés !
Le Bastion des dégradés (Collectif), PVH éditions, 18 novembre

La magie de l’Artescence se dégrade : parmi les artistes qui, sous leurs pinceaux, donnent corps aux architectures les plus grandioses de la Morceterre, des rebelles sont désormais traqués. Car peut-on s’essayer impunément à modifier les apparences et même, en dépit des règles de l’Art, à jouer avec la vie ? D’une tour en décombres émergent d’étranges secrets dont les teintes se lient et se délient ; pour sauver l’Artescence… ou la condamner à jamais.
Cor serpentis de Romain Benassaya, éditions Critic, 19 novembre

Jay fait partie des douze adolescents choisis pour lancer la colonisation de Cor Serpentis, mais à son réveil au terme de cinq siècles d’hypersommeil, elle va de surprise en surprise. Ses compagnons ont disparu, un intrus se trouve à bord, et l’IA du vaisseau semble altérée.
Qu’importe, rien ne peut l’écarter de la mission pour laquelle on la prépare depuis toujours. Pourtant, la planète est bien plus étrange et dangereuse que prévu, et ses épaisses forêts cachent une présence qui ne voit pas d’un bon œil l’arrivée des humains. Lui aurait-on menti sur la nature réelle de sa mission ?
Les suites de saga
Quelques suites de saga sont à noter en novembre, rien qui ne m’intéresse dans l’immédiat, car je dois d’abord me mettre à jour sur les tomes d’avant.
Le Halo des ombres, tome 3 de Viviane & Céline de Clairval, Le Livre de Poche, 14 novembre

Mon Maître voyait en moi un grand sorcier, mais il était aussi conscient du danger que je représentais. C’est d’ailleurs ce qui m’a mené entre les murs de cette école sordide, moi, l’enfant craintif dont la vie a basculé du jour au lendemain. Je dois être initié en secret à la nécrilosie, une magie noire dont la pratique a été interdite par la Couronne. Désormais, il me faut affronter ma part d’ombre et même si je ne suis pas seul, je ne peux m’empêcher de craindre ce que je suis. Et s’ils avaient tort ? Et si, au lieu d’être l’espoir de paix des royaumes d’Edenfall, j’étais le véritable ennemi ?
A la recherche de l’esprit renard, d‘Alix Naudot Guillerm, éditions Gulf stream, 20 novembre

Depuis quelque temps, l’esprit renard, le dernier des lùmii, visite les rêves de Merle. Est-ce parce que le jeune garçon est le seul à avoir des yeux de couleurs différentes ? Cette particularité l’empêche en tout cas de déclencher la vue et ainsi d’accomplir son rêve : intégrer la prestigieuse caste des protecteurs, les albans. C’est alors que son village est attaqué par la mystérieuse secte des rogues. L’adolescent y rencontre pour la première fois son père, qui a rejoint ce groupe il y a longtemps. Or, celui-ci est porteur d’un message inattendu : il prétend que Merle, contrairement à ce qu’ont toujours affirmé les albans, peut lui aussi déclencher la vue malgré ses yeux vairons. Dès lors, le garçon va devoir choisir : accorder sa confiance à ce père qui l’a abandonné et a trahi les siens, ou rester fidèle à ceux qui prétendent être des protecteurs ? Seul l’esprit renard a la réponse…
Le prix des étoiles, tome 2 : Olympus de G. Kerguelen, Autoédité, 20 novembre

Au cœur du désert australien, Joaquim Moreau découvre une molécule extraordinaire. Cicatrisation fulgurante. Rajeunissement cellulaire. Disparition des maladies graves. Ce généticien français en fin de carrière tient soudain le remède miracle du siècle — et la clé de fortunes immenses. Mais la molécule cache deux secrets. Le premier : elle provoque une dépendance absolue. Ceux qui l’absorbent cessent de désirer, de travailler, d’espérer. Ils s’enfoncent dans une paix si parfaite qu’elle en devient mortelle. Les anciens Aborigènes la connaissaient, et l’avaient bannie depuis des millénaires. Le second est plus vertigineux encore : chez certains porteurs d’une mutation rare, la molécule dédouble la conscience. Le corps demeure en stase. L’esprit, lui, s’échappe — vers la Lune, Mars, Vénus… et au-delà. Tandis que laboratoires, multinationales et mafias se livrent une guerre invisible pour la contrôler, un homme attend dans l’ombre. David Clayton. Gardien d’un savoir ancien, il a tout orchestré. Son but : répandre l’addiction jusqu’à ce que l’humanité cesse de produire, de consommer, de détruire. Que la planète respire. Que tout s’arrête. Mais Moreau devient dépendant. Et ses voyages quantiques vont révéler un secret capable de changer le destin de l’humanité.
La Guerre du pavot, tome 2 : La République du dragon, de R.F. Kuang, De Saxus, 27 novembre

Les relations entre l’Empire du Nikan et la Fédération de Mugen ont toujours été conflictuelles. Lorsque l’Empire se retrouve affaibli, la Fédération en profite pour l’envahir. Deux Guerres du pavot sont nécessaires pour vaincre et repousser l’ennemi mugenais vers le large. Des siècles plus tard, au sud du Nikan, la jeune orpheline Fang Runin, qui n’a connu que la misère, se retrouve fiancée contre son gré. Pour échapper au mariage, elle se lance à corps perdu dans la préparation du Keju, un exigeant concours qui lui ouvre les portes de l’élitiste Académie de Sinegard. Bien que discriminée par tous, elle se révèle redoutable, mais surtout dotée d’impressionnantes prédispositions au shamanisme. Tandis qu’elle apprend à saisir la vérité du monde et à apprivoiser ses puissants pouvoirs, Mugen envahit subitement les terres nikara. Une nouvelle Guerre du pavot éclate. Rin est prête à tout pour triompher, y compris faire appel aux plus imprévisibles et dangereuses des divinités.
Et en format poche ?
De belles sorties poches en novembre avec deux nouveautés côté Argyll (dont Chanter le silence que j’ai déjà chroniqué), un UHL et un nouveau John Langan dont le résumé m’attire beaucoup.
Nettle and Bone, de T. Kingfisher, Le Livre de Poche, 05 novembre

La jeune et timide Marra, dernière fille d’un souverain au royaume convoité, assiste impuissante aux mariages de ses deux sœurs avec le prince Vorling. Car, après la mort mystérieuse de l’aînée, la cadette a dû la remplacer pour tenter de donner enfin un héritier au triste sire. Quand Marra découvre l’ampleur de la cruauté du prince, elle ne peut demeurer simple spectatrice : si elle veut sauver sa sœur et empêcher le sort funeste qui l’attend elle aussi, il faut tuer Vorling. Pour mener à bien son plan, il lui faudra recruter une sorcière capable de parler aux morts et sa poule possédée par un démon, un honorable chevalier en disgrâce et une fée marraine particulièrement douée pour les malédictions.
House of windows, de John Langan, éditions J’ai Lu, 05 novembre

« Tout le monde me demande ce qui, selon moi, est arrivé à Roger, disait Veronica Croydon, et si je ne donne pas de réponse immédiate, on s’empresse de m’en proposer une. Mais personne ne comprendrait. Enfin, personne ne me croirait. Reste un peu, et je vais te dire ce qui s’est passé. » La disparition de Roger Croydon, éminent universitaire spécialiste de Dickens, attise toutes les curiosités. Un mystère qui mène inexorablement à la demeure du couple, Belvedere House, et à son armée de fenêtres, baignées de lueurs étranges…
Cuirassés d’Adrian Tchaikovsky, éditions Le Belial’, 06 novembre

Futur proche. Angleterre, nouvel État de l’Union nord-américaine.
Les Héritiers n’ont aucune limite.
Les Héritiers ne meurent pas.
Les Héritiers ne disparaissent pas.
Enfin, sur le papier. Parce qu’il y en a précisément un qui manque à l’appel — l’un de ces fils de riches planqués dans leurs armures intelligentes prétendument indestructibles. Et volatilisé derrière la ligne de front, qui plus est, dans les Territoires du Nord, en plein cœur d’une Suède socialiste à feu et à sang. Or, ça, c’est le problème du sergent Ted Regan et de son escouade de petits malins, à qui l’on confie la lourde charge d’aller récupérer le nanti — ou ce qu’il en reste. Quitte à se frotter aux horreurs tapies de l’autre côté de la frontière finlandaise…
Code ardant, de Marge Nantel, Folio, 06 novembre

La civilisation s’est effondrée. La technologie est réduite à des vestiges jalousement gardés dans des villes-forteresses, remparts contre le chaos extérieur. Lorsque celle d’Albi est réduite en cendres, elle laisse un unique survivant : Endah, un Ardant. Un être programmé pour exécuter les ordres sans les discuter, incapable de désirer autre chose que l’accomplissement de sa mission : trouver le Prieur.
Recueilli par un groupe intrépide de convoyeurs, il se retrouve embarqué dans une course effrénée avec, à leurs trousses, des ennemis implacables, prêts à tout pour s’emparer du secret qu’il porte.
AquaTM de Jean-Marc Ligny, éditions L’atalante, 06 novembre

En 2030, l’enjeu vital autour duquel se battent les peuples et les nations est l’eau potable. Aussi, quand un pays d’Afrique découvre, grâce à une image satellite piratée, une nappe phréatique, c’est la survie assurée !
Mais le consortium américain à qui appartient le satellite revendique cette nappe et ne recule devant rien pour l’obtenir. Dans cette lutte, tous les moyens sont bons : politiques, militaires, sorcellerie…
Chanter le silence de Cassandra Khaw, éditions Argyll, 07 novembre

Deacon James est un bluesman hanté par sa musique et la mort de son père. Lorsque sa route croise celle de John Persons, un type qui prétend que le musicien abrite dans sa tête quelque chose de dangereux, il choisit de l’ignorer.
Mais voilà, qu’à un concert, son saxophone n’invoque pas seulement les hourras du public d’Arkham, mais aussi des visions de cauchemar.
Pourchassé, Deacon prend ses jambes à son cou et tombe sur une jeune fuyarde, infectée par le même mal que lui. Tandis qu’ils tentent de quitter Arkham ensemble, la chanson dans la tête de Deacon gagne en force. Il sait que, bientôt, il ne pourra plus l’ignorer…
Colorer le monde (suivi de 🙂 Qui possède la lune ?, de Mu Ming, éditions Argyll, 07 novembre

Fille d’une artiste dotée d’une vision exceptionnelle grâce à une mutation génétique rare, la jeune Amy souffre d’un sentiment d’exclusion à cause de sa vue « non corrigée », dans une société où les implants ont changé la perception du monde.
Toutefois, depuis la découverte de L’Odyssée et sa description de la mer « vineuse » par Homère, la jeune fille se pose des questions sur la subjectivité des couleurs. À l’âge de douze ans, elle convainc ses parents de lui permettre l’implantation de correcteurs rétiniens afin d’élargir son spectre de vision mais, aussi, de mieux s’intégrer. L’opération est un succès, mais jusqu’à quel point ?
Le Livre de Nathan, de Nicolas Cartelet, éditions Le Livre de poche, 13 novembre

Le destin est incroyablement railleur : à la suite d’une étrange apocalypse maritime, Nathan Verdier compte parmi les rares survivants d’une humanité privée de ses terres, et son roman, dont aucun éditeur n’a voulu jusque-là, est le seul à être sauvé des eaux, au milieu des bouteilles vides et de quelques conserves. D’année en année, de siècle en siècle, ce texte miraculé, qui aurait dû finir dans les archives de la médiocrité, devient un objet d’escroquerie, de tentation, de passion et de culte.
Et vous, quels sont les titres que vous avez repérés ?

Merci pour la recension ! Forcément, j’ai envie de lire tous les poches, ou du moins les premières éditions poches. J’avoue que Nettle & Bone et House of Windows me hypent particulièrement !
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Hâte de lire ton avis sur House of windows !
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Lu les 3/4. Pour l’instant c’est un sans fautes !
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Merci pour cette liste. Mais j’en suis encore à tenter d’écluser les sorties d’octobre. Ça devrait me tenir jusqu’à Noël, ça !
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Tu m’étonnes, il y avait tellement de sorties en octobre. Et là les éditeurs commencent à annoncer toutes les sorties de janvier/février, c’est dur de suivre !
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Oh oui !
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Oh un nouveau tome du Halo, tu me rappelles qu’il faut que je lise le tome 2
Sinon j’ai craqué pour la Sorcière de Kingfisher mais je n’ai pas été aussi emportée que voulu. Je compte aussi prendre le nouveau Benassaya, obligé.
Bons craquages et belles lectures !
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Oui j’attends ton avis sur le tome 2 avant de le prendre 😀 Mais dommage pour le nouveau Kingfisher par contre, mais j’ai quand même envie de tenter…
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Il faut juste que je ne l’oublie pas. J’ai des envies qui m’entraînent dans tous les sens en ce moment xD
J’ai aussi lu de très bons retours sur le Kingfisher alors peut-être que ça te plaira plus. Ça reste une bonne lecture tout de même d’ailleurs.
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Colorer le monde est dans ma PAL et je suis très tenté par le nouveau roman de Stéphane Arnier qui a l’air d’être plus sombre que ses précédentes productions.
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Oui c’est vrai que le nouveau Stéphane Arnier est très tentant !
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Joli repérage. Je suis tentée par le Stéphane Arnier, le reste, on verra !
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Oui le Stéphane Arnier a l’air très chouette !
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