
Préparez-vous, le mois de mars va faire mal à nos comptes en banque tant les sorties littéraires sont nombreuses. Il va être très difficile de faire des choix, mais je vous propose une première (longue) sélection pour y voir un peu plus clair !
Les sorties en grand format
On commence avec les titres qui sortent en grand format et il y aura de belles sorties au mois de mars. Je suis particulièrement intéressée par La ronde de nuit pour sa couverture qui m’interpelle, et par Le Chant des noms, La Lance de Peretur et Un soupçon d’humanité par rapport aux résumés.
La Ronde de nuit, de Bora Chung, éditions Rivages, 05 mars

Après le succès de Lapin maudit (Matin Calme, 2023), l’autrice star Bora Chung revient avec un roman composé de sept histoires fantastiques se déroulant dans un étrange institut de recherches spécialisé dans les phénomènes paranormaux.
Le Chant des noms, de Jedediah Berry, éditions Hachette, 05 mars

Lorsque les mots ont disparu, le monde a changé : tout sens a été perdu, les barrières se sont effondrées. Les monstres ont émergé des rêves, les fantômes se sont mis à errer sans but dans des contrées sans carte. Ce n’est qu’avec l’apparition des comités de dénomination (Rêves, Cartes, Fantômes et Noms) que le monde a pu survivre au Silence. Depuis lors, les mots, devinés par des nommeurs et délivrés par des messagers, façonnent le réel. Pour faire face aux menaces des sans-nom, des frontières ont été érigées autour du monde connu et jusqu’à l’intérieur des esprits ; les fantômes enchaînés pour être exploités, et les monstres chassés. La guerre contre l’inconnu a commencé. Mais il n’y a rien de plus dangereux qu’une chose sans nom. Une messagère accompagnée d’un fantôme en vrac et d’un monstre inquiet doit affronter ce danger et franchir des frontières interdites. Car les mots qu’elle porte peuvent remodeler la saga du monde.
Peau d’âme, d’Aude Ziegelmeyer, éditions Gulf stream, 06 mars

Au coeur du royaume du roncevaux se cache le palais d’or. véritable écrin entouré d’une forêt surnaturelle, il renferme les deux joyaux de son roi : un âne enchanté et la princesse blanche d’ivrée. Cloîtrée derrière les murs dorés qui l’ont vue naître, Blanche passe ses journées hantée par les souvenirs de sa défunte mère. Lorsque son père lui annonce son projet de se remarier à la suite du bal donné pour l’anniversaire de la jeune femme, celle-ci comprend qu’il a renoncé à faire d’elle son héritière. Le roi compte d’ailleurs profiter des festivités pour la présenter à Armand Meslay, le fils de sa plus grande rivale. Cette alliance pourrait empêcher la guerre qui s’annonce entre leurs royaumes. Blanche n’a que peu de temps si elle veut convaincre son père qu’elle est aussi sage que l’était sa mère, et donc digne de lui succéder. Elle ne voit ni la folie qui embrase les yeux de ce dernier, ni l’adoration qui illumine le regard de celui que la cour surnomme le « Fou du roi ». Rattrapée par les effroyables secrets que dissimule le souverain, la princesse d’Ivrée est prête à tous les sacrifices pour échapper au piège implacable qui se referme sur elle. Jusqu’à conclure un pacte magique. Or, dans une tour oubliée du Palais, une fée enfermée depuis des années attend son heure. Celle de la vengeance.
La Lance de Peretur, de Nicola Griffith, éditions Argyll, 07 mars

Dans la vallée de la Tywi, les profondeurs d’une grotte dissimulent une mère et sa fille aux yeux des hommes. L’enfant a plusieurs noms, bien qu’aucun ne lui appartienne réellement.Lorsque l’appel irrésistible d’un lac lointain pousse la jeune fille à rejoindre le monde extérieur, sa mère lui révèle son véritable nom : Peretur. Avec pour seules possessions une lance volée, une armure cabossée et une monture rachitique, elle entame un long voyage vers la cour de Caer Leon.C’est là que l’attend sa destinée, étroitement mêlée à celle du légendaire roi Artos et sa quête d’un artefact divin.
Le Bouffon de la couronne, de Thibault Lafargue, les nouvelles éditions ActuSF, 11 mars

« Un bouffon est en dessous du peuple mais au-dessus du roi. Amuse le roi et tu amuseras la cour. Alors, tu seras l’être le mieux loti du château » Il en faut des hasards du destin pour que Sébrain, jeune homme dévoué à la religion du Triste, devienne Tirelangue, le bouffon du château de Belle-la-Ménure. Suite à une terrible maladresse commise lors d’un banquet diplomatique, il se voit nommé « bouffon » par le roi afin d’éviter un désastre. Ce mensonge le propulse au coeur des intrigues de la cour, où il découvrira à ses dépens la règle d’or du métier : un bouffon qui ne fait pas rire est un bouffon en danger… Scénariste et réalisateur de cinéma, Thibault Lafargue livre ici un premier roman de fantasy passionnant, qui entremêle complots, trahisons et personnages complexes, dans un Moyen Âge sombre et désenchanté, où le rire pourrait bien se révéler l’arme la plus dévastatrice.
L’homme qui écoutait battre le coeur des chats, de Mathias Malzieu, éditions Albin Michel, 12 mars

« Ils m’ont appelé Tornado comme le cheval de Zorro. Mon pelage est noir et mes yeux sont deux putains de pépites d’or… Autant le dire tout de suite, je suis absolument irrésistible. »
Tornado et June sont deux chats consolateurs, adoptés par des maîtres qui ont perdu leur enfant à naître. Deux chats qui, nourris de poésie et de musique, se sont mis à penser et se racontent, à tour de rôle. Ils vivent sur une péniche avec « Ceux-qui-se-croient-leurs-maîtres ». Ces derniers ne sont pas très doués pour se reconstruire et June abrite en son coeur le fantôme de Macha, cette petite fille qui aurait pu naître. Mais quand le récit commence, un autre drame menace. Tornado est malade et n’a peut-être plus que quelques jours à vivre. Comment faire face à cette nouvelle perte qui s’annonce ? Un traitement miracle pourra-t-il le sauver ?
Passé sans silence, d’Adrien Mangold, éditions L’homme sans nom, 19 mars

Doug Gueyburt a passé sa vie à écrire. Rendu au troisième âge, il décide que son autobiographie sera sa dernière œuvre. Seulement, quand vient l’heure de déterrer ses souvenirs, ses troubles de la mémoire lui jouent des tours et son passé se mêle aux fictions dont il fut l’auteur. La maladie prend le dessus lorsqu’il se sent le devoir d’avouer un crime commis par un de ses anciens personnages. En proie à l’oubli et malmené par un passé qui ne lui appartient pas, le vieil homme se débat avec ce qu’il lui reste de lucidité, pour peut-être retrouver celui qu’il a été en écrivant malgré lui la biographie de celui qu’il n’est pas.
Un soupçon d’humanité, de Lo¨ic Henry, éditions Mnémos, 19 mars

Dans les pays qui ont accepté de faire confiance aux intelligences artificielles, une utopie est née : les indicateurs sont au beau fixe, et le niveau de bonheur n’a jamais été aussi élevé. Jusqu’à ce début de soirée, où Just Saveninge, haut cadre de l’une des plus grosses entreprises mondiales de sécurité, est abattu par un drone de sa propre société. Un inspecteur désabusé assiste l’I.A. de la police dans une enquête qui le mènera sur les pas d’une joueuse de go rebelle, d’un prêtre jésuite féru de technologie, d’une mathématicienne de génie et d’une galerie de personnages en lisière de cette société idéale.
Vent rouge, d’Emmanuel Quentin, éditions Critic, 19 mars

Sur Sophis, tous les Vifs sont soumis au règne implacable du Vent rouge. Simple phénomène météorologique ou manifestation surnaturelle, peu leur importe, quand il souffle les souvenirs s’envolent, se mélangent, se perdent. Nul n’échappe à ses effets. Ni Anat à la curiosité insatiable. Ni Djimil et ses nouvelles responsabilités. Ni Tiqfu qui doit conserver le souvenir le plus précieux de son peuple, quoi qu’il en coûte. Pas même Satia, l’Oppresseur surgi d’un passé douloureux que les habitants de Sophis pensaient avoir…
Des suites de séries
Peu de suites de série qui m’intéressent en mars (heureusement vu tout le reste !), j’ai tout de même repéré deux séries pour lesquelles je n’ai pas encore lu les tomes 1, mais qui pourraient m’intéresser.
Ce qui se dit par la montagne de Premee Mohamed, éditions L’atalante, 6 mars

« Ne me tue pas. J’ai tout un monde à changer. » Au terme du périple entamé dans La Migration annuelle des nuages, Reid atteint les dômes, cocons de technologie, vestiges de la société d’antan. Elle s’attend à y trouver les outils et le soutien nécessaires à la reconstruction du monde qui a été perdu, mais les habitants des dômes gardent jalousement leurs connaissances et leurs ressources, sans un regard pour la population extérieure contrainte de lutter chaque jour pour sa survie.
Pourquoi ? Dans la communauté qui l’a vue grandir, « c’est tout le monde ou personne », alors Reid met au défi ses camarades privilégiés de regarder par-delà leur confortable microcosme. De tout remettre en question. D’agir.
Runbørn, tome 2 : Hel, d’Ariel Holzl éditions Gulf Stream, 27 mars

Chacune de ces runes possède un peu de l’essence d’un dieu ou d’une déesse indispensable à toute existence. Je vous ai choisis pour les porter. Grandissez et prospérez, Enfants des Runes ! Lorsque le temps sera venu, vous ferez renaître les dieux… Ainsi parlait Odin, le Père de Tout, à la veille du Ragnarök, la fin de l’ancien monde. Né marqué d’une rune, Tyr est un Runbørn. Mais deux siècles après le Ragnarök, les dieux nordiques ont été oubliés et le jeune homme ignore tout de son héritage. Lors d’un rite de passage organisé par la prêtresse de son village, Tyr découvre qu’il est, comme ses amis Hel et Bragi, le maillon d’une chaîne forgée bien avant sa naissance : porteurs des pouvoirs d’une divinité, ils doivent réunir les 24 runes dispersées dans le monde pour redonner vie aux dieux. Il leur faudra pour cela convaincre les autres Runbørn… ou s’approprier leurs runes par la force. Face au chemin pavé de sang qui s’impose à eux, Tyr et ses compagnons sacrifieront-ils ce qu’ils sont pour accomplir leur mission sacrée ?
Et en format poche ?
De très belles sorties arrivent au mois de mars en format poche. Je dois dire que tous m’intéresse et je trouve que les éditions poche proposent des couvertures de plus en plus réussies !
Le Cycle des secrets, tome 1 : les marches des géants, Manon Fargetton, éditions Folio, 6 mars

Dans la cité d’Aletheia, Lora peine à trouver sa place au sein du clan des marins lorsqu’elle reçoit la visite d’une puissante magicienne, Équinoxe, qui lui dévoile un terrible secret sur sa naissance. Cette révélation et la mort de sa mère font soudain peser sur Lora de nouvelles responsabilités et la placent au centre de dangereuses intrigues politiques.
Mais il existe une menace plus grande encore : les magiciens, qui se servent des secrets des hommes pour alimenter leurs pouvoirs et se livrent dans l’ombre une lutte sans merci. Et c’est vers Aletheia que convergent leurs ambitions…
Golden Age, de Fabrice Colin, éditions Le Livre de poche, 12 mars

« Il nous faut distinguer trois mondes. Le Nôtre, le Leur, et celui du Milieu : le Delirium. »
Dandelion Manor, Dorset, 1914. Dans la langueur d’un été secoué par la guerre qui approche, quatre écrivains vieillissants, jadis si créatifs, sont réunis. L’inspiration s’est envolée ; les bruits de bottes feraient-ils fuir les fées ? À leurs côtés, un elfe sauvage et fantasque, une femme secrète assoiffée de réponses et un enfant rêveur connecté aux univers invisibles assistent aux derniers soubresauts de ce monde qui meurt. Jusqu’où iront les créateurs déboussolés pour faire revenir leurs muses ? Et qu’advient-il de ce qui compte vraiment quand tout s’écroule ?
Arborescentes, de Frédéric Dupuy, éditions Bragelonne, 12 mars

Il est des endroits dans le monde dont on ne saurait dire qu’ils accueillent des enfants tant les environs sont lugubres et les lieux austères. Tel est l’orphelinat des Sœurs Aniel. Avec ses grandes fenêtres à barreaux et ses portes en métal aux lourds battants, on croit entrer dans une ancienne prison, ou dans un asile de fous. Ou pire encore, dans une banque. Petite, boulotte et bougonne, avec des yeux cernés jusqu’à l’os, Hélène y vit dans une minuscule chambre et n’en sort que la nuit. Hélène a juré de ne plus dormir, et c’est un travail de tous les instants. Elle est atteinte de la Maladie de la Belle au Bois dormant, qui peut frapper à tout moment et l’emporter dans un sommeil infini, comme sa mère avant elle. Il n’existe pas de remède, aucun traitement connu à cette forme de narcolepsie, qui demanderait des dispositifs bien trop coûteux pour le nombre de cas connus en France, même pour des laboratoires aux poches profondes. Même pour les laboratoires Varkoda, dirigés par l’inflexible héritier de la famille fondatrice, connu pour s’arroger des brevets au prix de la destruction de la jungle équatoriale amazonienne, et au mépris de la vie humaine. Et pourtant, une étrange infirmière entraîne Hélène dans son sillage, vers un hôpital et un monde aux ressources inexplicables, un lieu extraordinaire, enchâssé dans une forêt introuvable tel un bijou brillant dans un écrin vert, qui lui offrira peut-être un avenir, et un rôle à sa mesure dans le combat fantastique qui s’annonce. Car les forces ancestrales bientôt réveillées par Hélène et Arès Varkoda dépassent l’entendement, et l’équilibre fragile entre nature et humanité est en péril.
L’inversion de Polyphène, de Serge Lehman, éditions Le Belial’, 13 mars

Banlieue parisienne, fin des années 70.
Ils sont quatre, réunis par une même passion pour la science-fiction, un goût pour l’évasion et les terrains vagues. Il y a Paul, la mauvaise graine, le plus âgé, charismatique et affublé d’un œil de verre. Et Mick, intrépide, vive comme l’éclair, aux réparties tranchantes. Et puis Francis, qui aime faire des blagues, fume comme un pompier et que son père bat comme plâtre. Et enfin Hugo, élevé par un paternel raide comme la justice, qui rêve de devenir écrivain. Ils sont à l’aube de l’adolescence. Ils sont la bande des Engoulevents. En ce début d’été, alors que l’ennui gagne et que l’Essonne cuit sous la canicule, entre parents dysfonctionnels et jeu des passions naissantes, les Engoulevents étirent les heures dans leur QG secret qui fait aussi office de bibliothèque interdite. Jusqu’à ce que l’imprévisible Paul mène ses compagnons dans une aventure qui les laissera changés à jamais, une métamorphose au risque de tout perdre, à commencer par ce merveilleux sans pareil qu’on appelle l’enfance…
L’Orage vient, de Louise Mey, éditions Pocket, 13 mars

« Vous n’avez pas peur, seules dans ce hameau, sans personne ? »
Mila a 15 ans. Depuis la Rétractation, elle vit avec sa mère et les autres femmes du Hameau. Cette communauté de femmes, solidaire et isolée se pensait à l’abri de la violence et de la folie qui ont ravagé le monde d’Avant. Mais le Hameau est menacé, et Mila va devoir laisser parler sa vraie nature…
La Trilogie baryonique, tome 2 : Le système de la tortue, de Pierre Raufast, éditions Pocket, 20 mars

2173. L’humanité se remet progressivement de la grande migration climatique qui a décimé sa population. Le progrès scientifique est au point mort. Seule perspective possible : mettre la main sur les gisements d’antimatière qui doivent se cacher quelque part dans l’espace. A cette fin, des mineurs d’espace-temps génèrent des trous de ver pour explorer les strates de l’Univers. Sara et Slow sont ainsi embarquées dans le module Orca-7131. Mais une avarie improbable transforme cette mission de routine en catastrophe. Une expédition de la dernière chance s’organise alors – une tentative de sauvetage qui va peut-être marquer le retour de la denrée devenue la plus rare : l’espoir.
Perséphone, de Benjamin Carteret, éditions Le Livre de Poche, 26 mars

Dans la monarchie divine de Ciel et l’Ordre de Zeus, Koré, jeune déesse sans pouvoir, grandit à l’ombre de sa puissante famille. C’est loin de l’Olympe, auprès des mortels à qui sa mère Déméter enseigne l’agriculture, que son pouvoir se révèle enfin. Koré devient Printemps, Feu de Terre, et l’héritière d’une lignée de déesses gardiennes de l’ordre ancestral. Mais, aux prémices de ces changements, Koré se fait enlever et devient captive dans le royaume des morts. Tandis que l’amour éclôt dans les ténèbres, sur Terre, l’hiver de Déméter endeuillée succède pour la première fois au printemps. La famine qu’elle libère menace la race des hommes et, par là, celle des dieux. Partout, la mère cherche sa fille perdue mais Koré n’existe plus. Dans le cœur de Terre naît Perséphone.
En vrac, d’autres sorties à surveiller :
- Morgane Pendragon, de Jean-Laurent Del Socorro, J’ai Lu (poche), 5 mars
- Les Cités de poussière, de Nell Pfeiffer, éditions Hachette (jeunesse), 12 mars
- L’Étroit Chemin entre les souhaits, Patrick Rothfuss, éditions Bragelonne, 12 mars
- La Rose et le serpent, de Julie Elles et Damien Dufreney, les nouvelles éditions ActuSF, 25 mars
- A Language of Dragons, de S.F. Williamson, éditions Bragelonne (Big Bang), 26 mars
- Les Amants du Ragnarök, de Jean-Laurent Del Socorro, Albin Michel, 26 mars
- La Vie secrète des robots, de Suzanne Palmer, éditions Le Belial’, 27 mars
Et vous, quels sont les titres que vous avez repérés, et quels sont ceux pour lesquels vous êtes sûrs de craquer ?

Ah oui ! Un mois chargé ! J’avais repéré la plupart, mais pas Le Chant des noms qui peut m’intéresser, vu le thème. Ni Passé sans silence. Merci d’amplifier mes envies !
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Avec grand plaisir 😀
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Le mois de mars aura encore notre peau !
Je compte donc sur les copains lecteurs pour écrémer cette belle liste tant tout me tente, du jeunesse Peau d’âme en passant par les plus complexes Peretur et Bouffon de la Couronne, sans oublier Vent rouge et les suites comme CE qui se dit.
J’hésite encore pour le Manon Fargetton mais cette couverture 0 Et je suis jalouse d’avoir Arborescentes en grand format quand je vois le poche !
Le Rothfuss, lui, avec le Del Socorro sont tout en haut de ma wishlist 😀
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Oui c’est la cas de le dire. Mais exactement comme toi, je suis vraiment fan de la couv poche du Manon Fargetton, ça me donne envie de craquer et je suis contente pour l’auteur de Arborescentes qu’il ait le droit à une belle sortie poche ! L’édition du Rothfuss est magnifique aussi…
Bref le choix va être dur 😆
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Rothfuss n’est pas un choix, je prends direct, mais les autres… Il va falloir se faire sa place, la concurrence est rude xD
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En effet, il y a des sorties intéressantes en mars 😉
Ca va être compliqué de ne pas craquer ^^
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Oui et en même temps le choix va être compliqué, je pense que j’attendrais de voir les premiers avis pour savoir ce qui vaut vraiment le coup !
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Pas vraiment fait de repérage pour le coup, donc merci pour ta liste qui me donne quelques idées 😉
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Avec plaisir 😊
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