Ce rendez-vous mensuel fait son retour ce mois-ci sur le blog, car j’ai légèrement craqué ! J’ai notamment reçu ma contribution Ulule à la La Ligue des Écrivaines Extraordinaires. J’ai aussi eu quelques cadeaux de Noël sur le tard et j’ai fait quelques achats lors de ma visite au Furet du Nord de Lille pour l’annonce des 5 finalistes du PLIB (cet endroit est vraiment le paradis ♥) ! Je vous présente donc tout ça !
– Euh… Tu veux dire pour voir dedans ?
– Évidemment ! Pas pour y boire un cru syrien ! »
Elle eut soudain l’impression que quarante esprits la sondaient.
Yokhannân insista :
« Hé bien ! Si tu pouvais accéder à tous les secrets de l’univers, d’un seul coup d’oeil, n’y succomberais-tu pas ?
– Je ne crois pas, dit Sibylle, en rejetant une mèche de son front et en lui rendant son regard. Je ne suis pas certaine qu’ils soient tous agréables à regarder. »L’histoire de la Rose de Djam, ou comment la coupe qui détenait tous les secrets de l’univers fut perdue et retrouvée, est un volet de la longue histoire des Quarante, lequel commença dans un château syrien tenu par des seigneurs normands, où vivait la plus improbable des créatures terrestres qu’on pouvait charger de cette mission : Sibylle de Terra Nuova.
♦ Little d’Edward Carey – Gallic books – 461 pages ♦
“There is a space between life and death: it’s called waxworks”
The wry, macabre, unforgettable tale of an ambitious orphan in Revolutionary Paris, befriended by royalty and radicals alike, who transforms herself into the legendary Madame Tussaud.
In 1761, a tiny, odd-looking girl named Marie is born in a village in Alsace. After the death of her parents, she is apprenticed to an eccentric wax sculptor and whisked off to the seamy streets of Paris, where they meet a domineering widow and her quiet, pale son. Together, they convert an abandoned monkey house into an exhibition hall for wax heads, and the spectacle becomes a sensation. As word of her artistic talent spreads, Marie is called to Versailles, where she tutors a princess and saves Marie Antoinette in childbirth. But outside the palace walls, Paris is roiling: The revolutionary mob is demanding heads, and . . . at the wax museum, heads are what they do.

Dans le royaume de Cendrelune, les dieux épient les pensées des hommes, et leur Exécuteur, l’Ombre, veille à condamner tous ceux qui nourriraient des envies de rébellion.
Or, il semble que certaines failles existent. À l’âge de 17 ans, Céphise ne vit en effet que pour se venger. Depuis qu’on l’a amputée d’une partie d’elle-même et privée de sa famille, elle ne rêve plus que d’une chose : s’affranchir de la tyrannie du tout-puissant Orion, Dieu parmi les dieux. Et contre toute attente, il se pourrait qu’elle ne soit pas seule…


Lorsqu’on lui refuse le passage d’un pont parce qu’il ne peut s’acquitter du péage, Kelt prédit l’effondrement de la construction. Ainsi sont les diseurs de mots : ils possèdent de drôles de dons, jamais ils ne mentent et, affirme-t-on, leurs vérités ensorcellent.
Arrêté et livré aux geôles du seigneur local, Kelt doit démontrer son innocence lors d’une ordalie. Hòggni, un mercenaire en mal de contrats, accepte de le représenter puis remporte le duel. Toutefois, vexé de sa défaite, le seigneur les missionne alors au Heldmark, où le culte d’un dieu unique se répand plus vite que la peste…



♦ La Piste des cendres d’Emmanuel Chastellière – Critic – 615 pages ♦
« Telle était la seule chose en laquelle il pouvait avoir encore confiance : le chant du métal et de la poudre. »
1896, Nouveau-Coronado.
Fils illégitime d’un influent propriétaire terrien, Azel fuit son destin, ballotté entre des origines indigènes qu’il renie et une famille qui ne l’accepte pas. Il a préféré rejoindre les montagnes, où il se contente de jouer les chasseurs de primes.
Pourtant, loin des hauts plateaux, la menace d’une guerre se profile dans la péninsule : le Nord, véritable grenier à blé, estime être exploité par le Sud, plus industriel, qui dispose d’un accès à l’océan grâce au port de Carthagène.
Lorsque Azel accepte à contrecœur d’accompagner un convoi d’indigènes décidés à quitter leurs anciennes terres pour le Grand Exil, le jeune homme est loin d’imaginer qu’il va lui-même se retrouver entraîné dans cette guerre civile… et tout ce qu’elle risque fort de réveiller.
⇒ Ma chronique
♦ Cuits à point d’Elodie Serrano – ActuSF – 280 pages ♦
Et vous, quelles ont été vos acquisitions livresques en ce mois de février ?