
« Une gène, pourtant la retient. Rien de précis, rien de net qu’elle puisse balayer d’une geste de la main, juste un arrière-goût désagréable, un mouvement perçu du coin de l’œil qui disparait sitôt qu’elle tourne la tête. La même sensation qui l’a accompagnée durant tout le chemin sous les arbres. L’impression qu’elle avance dans un mensonge, ou à tout le moins dans un décor. et que les artificiers ricanent lorsqu’elle est passée. »