
–« Une part d’elle-même avait cru – espéré – qu’elle trouverait de l’aide dans la forêt. Le destin, la magie. Elle avait espéré l’apparition de l’Oiseau de feu, ou de la jument à la crinière d’or, ou du corbeau qui était en fait un prince… Quelle bêtise, de croire aux contes de fées. La forêt hivernale n’avait cure des hommes et des femmes ; le tchiort dormait l’hiver et les princes-corbeaux n’existaient pas. »