
–
« Tous les soirs, Denis arrivait avec la « souris blanche » : une blondinette, la plupart du temp, parfois une rousse, mais blond vénitien comme on dit. Les brunes ne se rendent pas comptent de la chance qu’elles ont de compter pour des prunes, parfois. Quant aux décolorées, je ne suis pas loin de penser qu’elles méritaient ce qui leur arrivait : lorsqu’on torture ses cheveux à ce point-là, on doit s’attendre au pire. »