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« Iliade pensait que la littérature était le plus puissant des boucliers, ce qui ne l’empêchait pas de trébucher sur les pavés ou de percuter les promeneurs parce qu’elle déambulât le nez dans les bouquins. »
« Iliade pensait que la littérature était le plus puissant des boucliers, ce qui ne l’empêchait pas de trébucher sur les pavés ou de percuter les promeneurs parce qu’elle déambulât le nez dans les bouquins. »